Précipitations

mesure de précipitations

Les précipitations les plus communes sont la pluie, la bruine, la neige, la grêle et le grésil. La mesure de la hauteur des précipitations s'effectue généralement à l'aide d'un pluviomètre. Il s'agit d'un instrument permettant de comptabiliser la quantité de précipitations tombant sur une surface donnée sur un intervalle de temps donné. L’unité de mesure est le millimètre et correspond à la quantité (en litres) de pluie tombée sur une surface de 1 m². Le pluviomètre « Association » en zinc est utilisé par les postes bénévoles pendant environ un siècle jusqu’à la fin des années 1960. Il est remplacé par le pluviomètre « SPIEA » en plastique transparent. Les pluviomètres à augets basculeurs apparaissent au début des années 1960.

 

Il existe plusieurs mesures pour les précipitations :

 

- quantité de précipitations : hauteur d’eau ou équivalent en eau des précipitations solides cumulées recueillies au sol depuis l’observation précédente (exemple : observation une fois par jour à 6h).

 

- quantité d’eau après fusion de la neige : la neige est une précipitation tombant d’un nuage sous forme de cristaux de glace. La quantité d’eau après fusion de la neige correspond à l’équivalent en eau de la neige tombée après l’avoir fait fondre.

 

- occurrence de neige : l’observateur note une occurrence de neige quotidienne positive dès qu’il observe une précipitation tombant d’un nuage sous forme de cristaux de glace. La donnée d’occurrence de neige est une donnée journalière de 0h à 24h.

 

- épaisseur/hauteur de neige : mesure de l’épaisseur/ hauteur de la couche de neige au sol. L’observation humaine faite en plaine par des météorologistes a été remplacée au début de la décennie 2010 par des capteurs de hauteur de neige.

 

- cumul de précipitations : cumul mensuel des hauteurs d’eau et équivalent en eau des précipitations solides.

 

Dossier Météo-France